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Soirées d’ouverture et de clôture | 45e édition

Cinéma du réel se réjouit d’ouvrir sa 45e édition avec la première française du film Paradis de Alexander Abaturov, produit par Petit à Petit Production et distribué par Jour 2 Fête. Jeudi 23/03/2023 au Centre Pompidou. Au-delà de l’ampleur de la catastrophe qu’il nous oblige à regarder en face, Abaturov filme l’homme. Si le film montre l’ampleur de la catastrophe, il raconte aussi, comment désormais il s’agit pour l’homme de vivre avec… En cela le film est spectaculaire, lucide. Il ouvre de manière exemplaire tout autant le festival que la programmation Front(s) populaire(s).

Soirée d’ouverture Jeudi 23 Mars 20:00 | Centre Pompidou | Cinéma 1

Paradis de Alexander Abaturov 
2022 | France – Suisse | 89’ | Première française

Été 2021: une canicule et une sécheresse exceptionnelles provoquent des incendies géants qui ravagent 19 millions d’hectares de terres au Nord-Est de la Sibérie. Au cœur de la taïga, le village de Shologon se voit recouvert d’un épais nuage de fumée. Les cendres noires propagées par le vent sont porteuses d’une nouvelle alarmante : la forêt est en feu, les flammes approchent. Abandonnés par le gouvernement, livrés à eux-mêmes, les habitants doivent s’unir pour combattre le Dragon.


Soirée de clôture Dimanche 2 Avril 19:30 | Centre Pompidou | Cinéma 1

Cinéma du réel est heureux d’annoncer son film de clôture Orlando, ma biographie politique de Paul B. Preciado en première française, produit par les Films du Poisson et 24images. Ce sera sans doute le point final des tangentes tracées dans le programme Le Monde, autre : Un film qui se joue des normes cinématographiques avec allégresse et qui célèbre l’énergie de vies singulières, irréductibles, atemporelles.

Orlando, ma biographie politique de Paul B. Preciado 
2023 | France | 98′ | Première française 

En 1928, Virginia Woolf écrit Orlando, le premier roman dans lequel le personnage principal change de sexe au milieu de l’histoire. Un siècle plus tard, l’écrivain et activiste trans Paul B. Preciado décide d’envoyer une lettre cinématographique à Virginia Woolf : son Orlando est sorti de sa fiction et vit une vie qu’elle n’aurait jamais pu imaginer.