Aller au contenu

Aurélien Froment

Aurélien Froment développe sa pratique depuis une vingtaine d’année avec un intérêt déviant pour le cinéma, jouant avec sa structure, son langage, ses matériaux, et ses espaces. Son travail convoque des histoires d’« utopies concrètes », souvent situées en marge de la modernité. Ces recherches prennent aussi bien la forme de vastes installations photographiques (Théâtre optique, 2021 ; Of Shadows of Ideas, 2016 ; Tombeau idéal de Ferdinand Cheval, 2015 ; Fröbel Fröbeled, 2014), que de films conçus comme autant de petits théâtres (Creuser Wolfson, 2023 ; L’Idée de Camillo, 2013 ; Théâtre de poche, 2007 ; The Apse, the Bell and the Antelope, 2005).